Résumé du 13 Mai 2010

Grâce à ses aveux, que Céline a enregistrés, Frémont est interrogé par Léo. Il avoue devant Céline qu’il a fait enfermer son fils, psychotique en puissance, qui s’en était pris plusieurs fois à sa sœur. Céline remet en cause sa version, et Léo est certain qu’il cache la vérité et le place en garde à vue. Louvain brûle ses dossiers avant de partir. Quand Adriana lui demande si son mari est impliqué dans l’affaire qui le lie à Frémont. Louvain montre un côté violent incontrôlable. Céline veut soigner Thibaud chez elle, mais selon Léo, le dossier de Thibaud est lourd : il a agressé violement une infirmière, en 1990. Adriana arrive au cabinet médical, bouleversée, de chez Louvain. Elle lui avoue qu’elle est battue depuis des années, mais qu’elle hésite encore à quitter son mari à cause d’Alix. Alertée par Céline, Adriana recoupe l’agression de Thibaud sur l’infirmière avec la violence de Louvain, d’autant plus que Coralie était la maîtresse de Louvain… Quand Léo vient faire un prélèvement l’ADN sur Thibaud, lui apprenant que Frémont est certainement son père, Julien se révolte : son père est un monstre qui a essayé de le tuer…

Sybille a détesté l’approche de Mevil, Elle croit qu’il a monté un plan débile pour lui nuire. Melvil se fait coacher par Melody pour rattraper le coup. Prétextant venir voir Raphaël, Melvil s’excuse auprès de Sybille de n’avoir pas su gérer son attirance et d’avoir été trop direct. Sybille raconte à son frère que son ami l’a draguée, mais Raphaël ne croit pas qu’un mec aussi super puisse s’intéresser à sa sœur. Sybille commence à regretter de l’avoir éconduit. En mettant ses photos perso sur son site, elle accepte Melvil comme "ami"…

Johanna et Stéphane décident de faire l’amour sans appareillage pour Stéphane et avec boules Quiès pour Johanna. Ce qui rend leurs ébats... très bruyants. Mirta et Roland sont très gênés d’entendre Johanna. Mais pas autant que Johanna quand Thomas lui apprend que Roland et Mirta ont tout entendu de ses ébats. Elle avoue, quand même à Thomas que l’expérience en valait le coup…